En ces temps de sobriété énergétique et de réchauffement climatique et à l’heure où l’internaute type passe 6h30 par jour à utiliser des appareils et services connectés, la question est légitime : le numérique et l’écologie sont ils compatibles ?
Nos usages des outils numériques, les sites que nous visitons, le visionnage de vidéos, le stockage sur les serveurs et surtout nos appareils électroniques eux-mêmes, représentent une part importante de la pollution mondiale, en terme de consommation d’énergie, de production de gaz à effets de serre et de déchets non recyclés.
A quel niveau et par quels moyens, nous, citoyens, pouvons-nous agir pour réduire cet impact ?
Frédéric Bordage, dans son ouvrage « Sobriété numérique – les clés pour agir » définit la sobriété numérique comme étant « une démarche qui consiste à utiliser le numérique dans des proportions raisonnables et uniquement lorsque c’est nécessaire. Sans se priver, il s’agit de prendre pleine conscience des impacts associés à chacun de nos usages quotidiens.«
Inutile donc d’aller vivre dans une grotte. Il s’agit surtout de comprendre le poids écologique de nos activités numériques et de les modifier par des actions simples à plus engageantes.
Retrouvez sous ce lien le support d’intervention de la conférence proposée par Bruno Méraut, formateur et médiateur numérique pour le Centre social du Chemillois, Écologie et numérique: vers une sobriété heureuse
Vous y trouverez des informations sourcées sur le poids écologique du numérique, des pistes de réflexion et de nombreux exemples d’actions concrètes pour agir.
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