[Si le dôme m’était conté...]
7/Le 31 mars, Pose de la bâche [partie 2]
La partie supérieure du dôme est réalisée avec les mêmes méthodes. Pour le sommet du dôme, le chapeau, les choses se gâtent, il faut qu’il soit amovible pour permettre une aération et éviter de trop grandes chaleurs. Il faut aussi qu’il puisse être tenu à la structure pour ne pas glisser et risquer d’endommager la bâche. Mais Roland, aidé de Louis-Paul, pleins de ressources, n’ont pas dit leur dernier mot. Ils trouvent un système qui remplit toutes les contraintes avec quelques bouts de métaux et de longs tasseaux.
Au fil des péripéties, nous avons collectivement beaucoup appris sur les serres géodésiques, et nous nous sommes enrichis des savoirs et compétences techniques des uns et des autres. Des liens se sont créés entre usagers. Quelle aventure !